1906-1907 Orgaan van de Christelijke Vereeniging van Natuur- en Geneeskundigen in Nederland - pagina 114

100 Ook de bewering als zouden de causae finales slechts een heuristiscli princiep zijn, goed zoolang 't causaal verband niet is gevonden, is onjuist, want deze bewering gaat uit van de veronderstelling, dat 't causale de omgekeerde serie is van het finale: Dit is onjuist. Wie doel zegt, zegt middel. „Jeder Zweck ist massgebend, bestimmend für die Mittel, die ihn hervorbringen. Nicht zwar so, dass der Zweck nur durch ein einziges Mittel verwirklicht werden könnte, aber der Zweck bedingt solche Mittel, durch die er in die Erscheinung treten kann. Und da das Mittel zeitlich stets dem Zwecke vorausgeht, so wird es bedingt durch einen Faktor, welcher der Zukunft angehört. Die Finalitat ist also eine Art causaler Fernwirkung 1). 't Principe der finaliteit stelt dus een bepaalde relatie voor tusschen de verschijnselen die wij waarnemen, een rapport met de toekomst. „L'erreur des savants (qui nient les causes finales) est du croire qu'ils ont écarté les causes finales de la nature, lorsqu'ils ont démontré comment certains eiFets résultent de certaines causes données ; la découverte des causes efficientes leur parait un argument décisif contre les causes finales. Il ne faut pas dire, selon eux, ,que l'oiseau a des ailes pour voler, mals qu'il vole parce qu'il a des ailes." Mais en quoi, je vous Ie demande, ces deux propositions sont-elles contradictoires ? En supposant que l'oiseau ait des ailes pour voler, ne faut-il pas que son vol résulte de la structure de ses ailes ? Par conséquent, de ce que ce vol est un résultat, a-t-on Ie droit de conelure qu'il n'est pas en même temps un but ? Faudrait-il done, pour reconnaitre des causes finales, que vous vissiez dans la nature des effets sans cause ou des effets disproportionnés a leurs causes ? Les causes finales ne sont pas des miracles. Pour qu' il y ait cause finale, il faut que la cause première ait choisi des causes secondes précisément propres a l'effet voulu. Par conséquent, quoi d'étonnant qu'en étudiant ces causes, vous en déduisiez mécaniquement les eifets ? Le contraire serait impossible et absurde. Ainsi expliqueznous tant que vous voudrez que les ailes étant donneés, il faut que l'oiseau vole : cela ne prouve pas du tout qu'il n'ait pas des ailes 1) J. Reinke, Theor. Biologie, pag. 85.

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